Notes et références

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1. ↑ Acte de naissance no 16/1459/1894 (acte du 27 décembre précisant « né le 24 décembre courant »), « Registres d'actes d'état civil (1860-1902) » [archive], sur Archives numérisées de Paris (consulté le 18 novembre 2013).

2. ↑ Le deuxième as français du conflit.

3. ↑ Voir la revue Généalogie-Magazine.

4. ↑ « http://www.histoire-compiegne.com/shc-guynemer.asp » [archive] (consulté le 18 octobre 2014)

5. ↑ Extrait du registre des baptêmes de la paroisse de Cuverville - Revue Icare No 122 1987/3, page 38 - Guynemer et les Cigognes

6. ↑ "Tout petit il avait failli être emporté par une entérite et il prenait facilement froid" Yvonne de Villiers de la Noue - Georges Gyunemer et les Cigognes page 39.

7. ↑ Paul et Diane Guynemer eurent trois enfants : Yvonne, Odette et Georges, Revue Icare No 122 1987/3, page 39 - Guynemer et les Cigognes

8. ↑ Voir son feuillet matricule de recrutement militaire, classe 1914, bureau de Compiègne, numéro matricule 113, Archives départementales de l'Oise, Rp 1024 (http://ressources.archives.oise.fr/ark:/44803/wwrfzjznb7v6qk8v# [archive]).

9. ↑ Paul Tarascon quitta Pau au mois d'avril 1915, c'est Jules Védrines qui assura la continuité de la formation de G. Guynemer - Revue Icare No 122 1987/3, page 51 - Guynemer et les Cigognes)

10. ↑ « Guynemer et les Cigognes », Icare, no 122,‎ 1987, p. 51

11. ↑ Document indiquant que le soldat Guynemer à bord d'un MS12, est parti d'Avord à 7 h 50 et a atterri à Avord à 8 h 45 le 26 avril 1915 - Icare No 122 1987/3, page 48 - Guynemer et les Cigognes)

12. ↑ Brocard promu capitaine (le 22 mars 1915) accueille le caporal Guynemer sortant des écoles de Pau et Avord

13. ↑ Charles Bonnard avait pour mécanicien Charles Guerder et lorsqu'il partit pour les Dardanelles, Guerder devint le mécanicien de G. Guynemer qui hérita du Vieux Charles et c'est avec cet avion que Guynemer remporta sa première victoire le 19 juillet 1915 ; dès lors Guynemer décida qu'il baptiserait ainsi tous ses futurs avions - Souvenirs de Pierre Roehr - Revue Icare - Guynemer et les Cigognes page 91 - No 122 1987/3

14. ↑ . Parti en mission à bord d'un Morane Saulnier Parasol, Georges Guynemer et son mécanicien Charles Guerder comme tireur (matricule 1013) abattent un Aviatik - Icare No 122 1987/3, page 65 - Guynemer et les Cigognes)

15. ↑ Lt. Johannes né le 28 octobre 1892 et le sous-officier Auguste Strobel côte 150 - Les As Français de la Grande Guerre - D. Porret page 17

16. ↑ a et b Guy Joly, « Georges Guynemer et René Fonck » [archive], octobre 2010 (consulté le 17 février 2015)

17. ↑ Vz.-fw Kurt Biesendahl et le Lt. Hans Reitter - Service Historique de l'Armée de l'Air - Les As Français de la Grande Guerre - D. Porret page 17

18. ↑ Service Historique de l'Armée de Terre page 13 - Guynemer

19. ↑ Guynemer et les Cigognes 1967- Revue Icare page 34

20. ↑ Cérémonie que présida le lieutenant-colonel Léon Adolphe Girod, inspecteur général des écoles d’aviation, spécialement délégué par le ministre de la Guerre. Elle se déroula en présence d’une délégation composée d’officiers provenant de chacun des centres d’aviation, avec la participation des autorités civiles et militaires locales. Source : Frédéric Lafarge, Un as pour parrain, Dijon, 2016 (notice de vingt pages éditée par la BA 102 pour célébrer le 100e anniversaire de la venue à Dijon de Georges Guynemer).

21. ↑ (en) Jon Guttman, « Georges Guynemer: France’s World War I Ace Pilot » [archive], sur Historynet, Aviation History, 5 janvier 2007 (consulté le 18 novembre 2013)

22. ↑ (en) « Georges Guynemer » [archive], sur The Aerodrome

23. ↑ a et b « Guynemer officier de la Légion d'honneur », Le Matin,‎ 25 juin 1917, p. 2 (lire en ligne [archive])

24. ↑ a et b « Le porte-drapeau Guynemer montrant son appareil au Gal Franchet d'Espèrey », Le Miroir, no 191,‎ 22 juillet 1917, p. 1 (lire en ligne [archive])

25. ↑ Jean-Paul Rossignol et Daniel Gilberti, « Le canon d'aviation de 37 mm Semi-Automatique Moteur Canon » [archive], sur Histavia21.net, janvier 2008 (consulté le 18 novembre 2013)

26. ↑ En remplacement du capitaine A. Heurtaux blessé en combat aérien

27. ↑ Service Historique de l'Armée de l'Air - Historique du groupe de Chasse 1/2 Les Cigognes page 31

28. ↑ (en) Jon Guttman, SPAD XII/XIII aces of World War I, Osprey Publishing, 2002, 96 p. (lire en ligne [archive]), p. 6–7

29. ↑ Roy, p. 299-302 place l'événement à la date du 10 septembre, sur la base de la citation de Bordeaux « le lendemain - lundi 10 septembre - il vole trois fois ». Mais Le Miroir du 7 octobre 1917 illustre sa couverture d'une "dernière photographie qui ait été prise du capitaine-aviateur Guynemer" [archive] en la datant du 9 septembre. Carlo Verbessem date l'événement du dimanche 9 septembre.

30. ↑ (en) « George Guynemer photographed carrying out repairs to faulty water pump on S.504 after landing at Les Moeres aerodrome 10 September 1917 » [archive], sur earlyaeroplanes (consulté le 2 avril 2014)

31. ↑ Carlo Verbessem, Journal de guerre, p. 111, avec sa propre photo bien différente page 113

32. ↑ Stephen Sherman, « Georges Guynemer Beloved French Ace, 53 victories » [archive], sur AcePilots.com, 15 avril 2012 (consulté le 18 novembre 2013)

33. ↑ a et b (en) SPAD XII/XIII aces of World War I, p. 13

34. ↑ « Le vainqueur de Guynemer a été tué », Le Matin, no 12275,‎ 6 octobre 1917, p. 1 (lire en ligne [archive])

35. ↑ (en) « Guynemer, Airman, Is Given Up As Dead », New York Times,‎ 26 septembre 1917 (lire en ligne [archive])

36. ↑ a, b et c Jacques Mortane, « Georges Guynemer tel que je l'ai connu » [archive], sur Hervé David (consulté le 18 février 2015)

37. ↑ « Le sort de Guynemer », Le Matin, no 12266,‎ 27 septembre 1917, p. 1 (lire en ligne [archive])

38. ↑ « La mort de l'aviateur Guynemer », Gazette des Ardennes,‎ 27 septembre 1917, p. 4 (lire en ligne [archive])

39. ↑ Air Service Journal. 4 octobre 1917. "Captain Guynemer Missing", vol. I, no 13, p. 413

40. ↑ « Autour de la mort du Capitaine Guynemer », Gazette des Ardennes - édition illustrée, no 46,‎ 11 octobre 1917, p. 3 (lire en ligne [archive])

41. ↑ Air Service Journal, 18 octobre 1917 : « Aerial Operations on the War Fronts. Guynemer Buried with Military Honors », vol. I, no 15, p. 475.

42. ↑ Frédéric Lafarge, « Guynemer le spadassin », revue trimestrielle Pays de Bourgogne (n° 247), avril 2016, pp. 22-25.

43. ↑ Lire en ligne [archive] le récit qu'Ernst Udet fait de cet évènement.

44. ↑ Ernst Udet dans la revue Connaissance de l'histoire, no 33, mars 1981, p. 46-47.

45. ↑ Jacques Mortane, Relation des débats in Chasseurs de boches, L'édition française illustrée, Paris, 1917 pp. 288-310

46. ↑ « Ministère de la Guerre : citations à l'ordre de l'Armée », Journal officiel de la République française,‎ 24 octobre 1917, p. 1 (lire en ligne [archive])

47. ↑ Roy 1986

48. ↑ Site de l'institution [archive]

49. ↑ Site du lycée [archive]

50. ↑ Lycée professionnel Guynemer d'Oloron-Sainte-Marie [archive]

51. ↑ Inauguration à laquelle prirent part la mère de l’aviateur et sa sœur Yvonne. Cette cérémonie rassembla en lisière de l’aire d’envol, face à l’entrée du quartier Ferber, de nombreuses autorités civiles et militaires, parmi lesquelles le colonel Gaston Ludmann, ancien commandant du 32e régiment d'aviation mixte et instigateur du projet. Source : Frédéric Lafarge, Un as pour parrain, Dijon, 2016 (notice de vingt pages éditée par la BA 102 pour célébrer le 100e anniversaire de la venue à Dijon de Georges Guynemer).

52. ↑ « Mort au champ d'honneur le 11 septembre 1917. Héros légendaire, tombé en plein ciel de gloire, après trois ans de lutte ardente. Restera le plus pur symbole des qualités de la race : ténacité indomptable, énergie farouche, courage sublime. Animé de la foi la plus inébranlable dans la victoire, il lègue au soldat français un souvenir impérissable qui exaltera l'esprit de sacrifice et provoquera les plus nobles émulations. »

53. ↑ a et b Localisation sur Open Street Map [archive]

54. ↑ a et b (en) « Cité Guynemer - Berlin, Französischer Sektor » [archive], sites.google.com (consulté le 14 février 2016)

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Source Wikipédia - 30/11/2017